"there has only ever been one perfect man, the Lord Jesus, and we killed him. I only missed a putt."
Abandonner
Lorsque Roboam se fut affermi dans son royaume et qu'il eut acquis de la force, il abandonna la loi de l'Éternel, et tout Israël l'abandonna avec lui. 2 Chroniques 12:1Une des parties les plus tristes de mon expérience chrétienne est reflétée par des personnes qui sont devenues des chrétiens forts dans leur foi mais qui l’ont maintenant perdue. Jésus l’a prédit : « Plusieurs faux prophètes s'élèveront, et ils séduiront beaucoup de gens. Et, parce que l’iniquité se sera accrue, la charité du plus grand nombre se refroidira. Mais celui qui persévérera jusqu'à la fin sera sauvé. » Matthieu 24:11-13.
Ce qui semble rendre la situation de Roboam particulièrement triste est que le texte semble supposer qu’il pensait avoir besoin de Dieu pour arriver à ses fins mais une fois arrivé, il ressentit qu’il n’en avait plus besoin. Ceci illustre le danger d’attribuer nos succès sportifs à Dieu. Bien sûr, nous pouvons et devons reconnaître Dieu comme la source de notre capacité. Mais si notre croyance en Dieu est trop étroitement liée à nos résultats, nous courons le risque de tomber dans le piège de Roboam, pensant que nous n’avons pas besoin de Dieu plus longtemps lorsque nous gagnons.
La vérité de l’Évangile dépend de la Parole de Dieu et des faits de la vie de Jésus, sa mort et sa résurrection. La vérité de l’Évangile n’est pas améliorée ou diminuée par la manière dont vous concourez à une finale olympique ou la manière dont je gagne ou perde une partie de foot. Les deux sont des domaines où nous pouvons expérimenter la présence de Dieu et lui exprimer notre louange, mais nos succès ou nos défaites ne vont pas changer la vérité spirituelle. Dieu n’est pas un « porte-bonheur » qui nous aide à gagner.
Renouvelons notre engagement inconditionnel envers Dieu.